Une envie de vacances forte pour le printemps !

Pour la première fois, les organismes de tourisme Atout France et ADN Tourisme réalisent une enquête sur les envies et projets de vacances en France pour les clientèles françaises et internationales pour le printemps 2022.

70 % des Français prêts à partir

Selon cette étude, 70% des Français ont prévu de partir entre avril et juin 2022, majoritairement en France. Notre pays est également le principal lieu de vacances européen choisi par les clientèles américaine, belge, italienne et espagnole. Les intentions de voyage des internationales sont en hausse de 15 à 20 points dans les prochains mois et des taux de réservation en avance.

70 % des Français interrogés ont prévu un ou plusieurs séjours au printemps 2022, avec en moyenne 2,2 séjours pour un total de 10,6 jours. La moitié partirait au cours de cette période, et presque autant lors du week-end de Pâques. Les modes d’hébergement plébiscités sont l’hôtellerie (29 %), en séjours chez des parents ou amis (23 %), en meublé de tourisme (16 %) ou en camping (9 %).

Littoral et campagne en tête des envies

Le littoral reste le plus recherché pour ces vacances printanières (35 % des séjours prévus), devant la campagne (29 %) (25 % pour les séjours urbains). Le nombre de Français souhaitant partir à l’étranger remonte à 11 % (contre 5 % des intentions de départ en mai 2021 à la sortie du confinement).

Des étrangers prêts aussi

L’étude a porté sur les intentions de départs sur 6 mois à partir de 8 marchés étrangers : Royaume-Uni, Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Suisse, Italie, Espagne et États-Unis). Ces intentions sont en hausse de 15 à 20 points sur un an, atteignant de 79 % à 95 %. L’envie de départ à l’international est importante pour ces marchés, notamment au printemps : plus des deux tiers des Britanniques interrogés envisagent un séjour au cours des trois prochains mois.

La France, avec une image très positive, demeure la première destination en Europe pour les clientèles américaines, belges, italiennes et espagnoles. Les espaces littoraux français sont principalement recherchés.

Des incertitudes persistantes

La guerre menée contre l’Ukraine est devenue la première crainte des touristes éventuels, devant les motifs économiques. La crainte liées à l’épidémie passent à la 3e place. Si la recherche d’espaces protégés est moins importantes, 68 % des personnes interrogées pensent que leur budget sera réduit cette année et 42 % attendent de voir l’évolution du conflit ukrainien pour réserver.

Documents complets de l’étude :

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